"J'ai peur qu'on en trouve d'autres", a raconté à l'AFP un jeune plongeur des garde-côtes italiens, juste après la découverte dimanche des corps de deux touristes qui ont péri dans le naufrage du Costa Concordia, près de l'île du Giglio en Italie.
"J'ai ressenti une grande tristesse et de la résignation et j'ai peur qu'on puisse en trouver d'autres, même si c'est mon travail", a déclaré Angelo Scarpa, 24 ans, à peine revenu de sa mission dans le petit port du Giglio. Il a raconté la lente exploration du navire d'où trois rescapés ont été extraits entre samedi et dimanche midi, un jeune couple de Sud-coréens en lune de miel, vers minuit, puis 12 heures plus tard un commissaire de bord italien.