Kosuke Tsuneoka, un journaliste japonais, libéré après cinq mois de captivité en Afghanistan, a affirmé avoir utilisé la crédulité et les faibles connaissances de ses ravisseurs pour émettre un signe de vie via internet la veille de sa libération. "Ils connaissaient le mot internet, mais n'avaient pas idée de ce dont il s'agissait", a-t-il expliqué. "Un jour, l'un d'eux est venu me voir avec un téléphone portable en me demandant comment s'en servir. J'ai alors pensé que c'était une chance", a-t-il précisé. Après avoir activé l'accès à Internet, il a posté quelques lignes sur le site de micro-blogging Twitter signalant "être toujours en vie, mais emprisonné", donnant sa localisation, le tout sous les yeux de ses geôliers qui n'ont pas compris puisque ne parlant pas anglais.