Un violeur confondu par son ADN

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Un homme de 33 ans a été condamné à huit ans de prison pour viol, mardi par la cour d'assises de Haute-Garonne, rapporte mercredi le quotidien régional La Dépêche du Midi. Il était accusé d'avoir violé en 2002, à Toulouse, une femme de 43 ans. Lors de son examen à l'hôpital de Rangueil, les enquêteurs avaient pu prélever du sperme. Mais l'ADN ne figurait pas au fichier d'empreintes génétiques. Il a fallu attendre 2005 pour confondre le violeur, condamné à l'époque pour trafic de stupéfiants.