J.Sidney voulait mourir "l'âme en paix"

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avec AFP

Ils allaient "mourir un jour", et voulaient "partir en paix".  La vague d'interpellation déclenchée par les policiers de la sous-direction antiterroriste ( Sdat) dans l'affaire du groupe de Cannes, a permis la saisie de nombreux documents et notamment des testaments de Jeremie-Louis Sidney, tué lors de son interpellation à Strasbourg ( Bas-Rhin), et de Yann Nsaku, arrêté à Cannes ( Alpes-Maritimes).

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Dans ces confessions, les deux hommes expliquent, selon le Parisien mardi,  qu'ils vont "mourir un jour" et qu'ils doivent partir "l'âme en paix", sans toutefois précisé la manière dont ils souhaitaient "partir".  Les deux hommes égrainent ensuite une série de personnes avec lesquelles Jeremie Sidney et Yann Nsaku s'excusent d'avoir été en conflit. Ils énumèrent également certaines tâches que leurs proches devront effectuer après leur mort.