Engrenage à Asnières et Genevilliers

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avec AFP

La tension est toujours palpable dans les Hauts-de-Seine où les habitants de Gennevilliers et Asnières se mobilisent pour tenter d'enrayer "l'engrenage" de la violence. Un jeune est mort dans la nuit du 12 au 13 mars, déclenchant de nouvelles rixes et obligeant à renforcer le dispositif policier.

Samedi, parents, responsables associatifs et habitants des deux communes se sont réunis pour la deuxième fois depuis le drame, à l'initiative du maire PS d'Asnières Sébastien Pietrasanta et du maire communiste de Gennevilliers, Jacques Bourgoin, qui souhaitent "des mesures concrètes, rapidement". "Il s'agit de recréer du vivre-ensemble dans nos quartiers", martèle le maire d'Asnières, "de mettre en place des actions communes entre les jeunes des deux villes".