Au lendemain du suicide d’une gardienne de la paix de 39 ans, qui s’est donné la mort lundi matin avec son arme de service, le directeur général de la Police nationale, Frédéric Péchenard, a décidé mardi matin d’ouvrir une enquête administrative sur le fonctionnement du commissariat de Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes), où elle était affectée, selon les informations d'Europe 1. La policière a laissé une lettre dans laquelle elle dénonce ses conditions de travail.
L’IGPN (Inspection générale de la Police nationale) est chargée de faire la lumière sur les dysfonctionnements éventuels du commissariat, qui pourraient être à l’origine du suicide.