Un Français sur trois déclare travailler ou avoir travaillé au noir, selon un sondage O2-Market Audit réalisé fin novembre et relayé par Le Figaro, contre seulement 13 % en 2008. Par ailleurs, près de 20 % des sondés déclarent recourir au "travail gris", qui est une variante du travail au noir consistant à ne déclarer que quelques heures travaillées, contre 2 % seulement il y a cinq ans.
Plus de la moitié des baby-sitters et des aides scolaires, un tiers des salariés dans le domaine des tâches ménagères, ou encore 42 % dans l'accompagnement des personnes âgées sont concernées par le travail au noir.