Les salariés de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne, en Seine-Maritime, ont obtenu qu'une part "substantielle" de la vente du "trésor de guerre" qu'ils détiennent sous forme de stocks depuis janvier leur revienne, ont annoncé vendredi les syndicats.
Cette manne servira à "financer les éventuelles conséquences sociales de la procédure de redressement en cours", a précisé l'intersyndicale du site situé près de Rouen.