Christian Estrosi, a présidé mardi une rencontre entre la direction de Renault et les principaux équipementiers automobiles français. Le ministre de l'Industrie a manifesté sa volonté d'inverser la tendance en matière de délocalisation, et notamment de lutter contre les "délocalisations masquées", consistant à recourir à la sous-traitance étrangère. "Si un véhicule est assemblé en France mais que 2/3 des pièces sont fabriquées à l'étranger, j'appelle cela de la délocalisation masquée", a-t-il déclaré.