Stéphane Plaza, pour la première fois au cinéma : "On m'a mis dans de très bonnes conditions"

  • Copié
Guillaume Perrodeau
Chez Laurence Boccolini, l'animateur évoque sa première dans le septième art, dans "J'ai perdu Albert", en salles le 12 septembre.

Agent immobilier, animateur de télévision, comédien au théâtre et désormais… acteur de cinéma. Stéphane Plaza est à l'affiche de J’ai perdu Albert, de Didier van Cauwelaert (qui adapte ainsi son propre roman), en salles le 12 septembre prochain. Chez Laurence Boccolini vendredi, l'animateur évoque ce nouveau tournant professionnel.

"Je n'ai pas un rôle exubérant". Le 12 septembre prochain, Stéphane Plaza fera donc ses débuts au cinéma, dans la peau de Zac, un apiculteur dépressif soudainement possédé par l'esprit d'Albert Einstein. "Ce qui est important pour moi, c'est que je n'ai pas un rôle exubérant", souligne-t-il, lui qui a plutôt l'image d'un animateur un peu farfelu dans son émission sur M6. Son personnage est "plutôt touchant, sincère, sans effets de manche", décrit-il, "c'est aussi pour ça que j'ai été sur ce film".

Didier van Cauwelaert ? "Il est très précis". Dans J’ai perdu Albert, on le retrouvera aux côtés de Julie Ferrier, Josiane Balasko ou encore Virginie Visconti. "Ils m'ont bien entouré. On m'a mis dans des bonnes conditions", confie le néo-acteur de cinéma. Et au sujet de Didier van Cauwelaert, qui l'a lancé dans le grand bain, Stéphane Plaza ne tarit pas d'éloges. "Il est très précis, il sait exactement ce qu'il veut : on est un instrument entre ces mains", explique-t-il.

>> Un problème ? Pas de solution ? Le plan B, c’est Laurence Boccolini, de 16h à 18h, sur Europe 1. Retrouvez le replay de l’émission ici

À la télévision "presque par hasard". Malgré sa carrière dans l'immobilier et à la télévision, Stéphane Plaza n'a jamais caché que sa première passion était la comédie, et plus particulièrement le théâtre. "J'ai fait sept ans de conservatoire, (…) je ne voulais pas forcément être animateur", indique-t-il. Il a débarqué à la télévision "presque par hasard". "Cela s'est fait sur un casting sauvage, lorsque j'étais à un salon de l'immobilier. On est venu me chercher car ils se sont dit : 'Il est un peu foufou celui-là'", se souvient l'animateur. "Et ça s'est tellement bien passé que j'y suis encore !"