Musique : les Libertines, Beirut et Stereophonics au menu de la semaine

Les chanteurs anglais Pete Doherty et Carl Barat, du groupe Libertines, sur la scène du festival Rock-en-Seine, à Saint-Cloud près de Paris, en 2014.
Les chanteurs anglais Pete Doherty et Carl Barat, du groupe Libertines, sur la scène du festival Rock-en-Seine, à Saint-Cloud près de Paris, en 2014. © BERTRAND GUAY / AFP
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La semaine, qui signe surtout le retour des Libertines, sera aussi marquée par le folk de Beirut. Europe 1 vous livre sa sélection des sorties du 11 septembre. 

Quels sont les albums marquants de la semaine ? Le 11 septembre, on assistera au retour des Libertines avec  la sortie de leur nouvel opus, Anthems for Doomed Youth. On aura aussi le choix de plonger dans le son envoûtant de Beirut ou de s'agiter sur le rock énergique de Stereophonics.

Anthems for doomed youth, le nouveau Libertines. Après une sortie avortée la semaine dernière, cette fois, c'est sûr, les Libertines sortent leur troisième et très attendu opus Anthems for doomed youth. Ce nouveau disque signe le grand retour du groupe anglais après onze ans d'absence. Pete Doherty, Carl Barât et leur bande, qui étaient à Rock en Seine, ont déjà dévoilé quelques titres : Anthems for Doomed Youth ou The Barbarians.

Beirut sort No no no. Quatre ans après la parution de son album The Rip Tide, Zach Condon, leader du groupe de musique folk américain Beirut, revient avec un nouvel opus, No No No. L'album, envoûtant, a été enregistré en deux mois, au gré des sessions avec les musiciens Paul Collins (à la Basse) et Nick Petree (à la batterie). Le prochain concert de Beirut en France aura lieu au Zénith de Paris le 22 septembre.

Stereophonics, de retour. Le groupe gallois revient dans les bacs à compter du 11 septembre avec un neuvième album, Keep the Village Alive. Le huitième opus, Graffiti On The Train, avait été très bien accueilli par la critique. Le groupe, plutôt très actif, n'a jamais cessé d'enregistrer, à raison d'un album tous les deux ans, souligne Direct Matin. On retrouve avant tout la présence du chanteur (également guitariste) Kelly Jones, comme dans le titre C'est la vie, premier extrait de l'album qui promet du rock nerveux.