«Je vais très bien» : Brigitte Bardot donne des nouvelles rassurantes de son état de santé

Brigitte Bardot a répondu sur Twitter aux rumeurs qui évoquaient une dégradation de son état de santé.
Brigitte Bardot a répondu sur Twitter aux rumeurs qui évoquaient une dégradation de son état de santé. © Remy de la Mauviniere/AP/Sipa
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Romain Rouillard / crédit photo : Remy de la Mauviniere/AP/Sipa , modifié à
De récentes rumeurs faisaient état d'une dégradation de l'état de santé de Brigitte Bardot âgée de 88 ans. L'actrice a répondu ce mercredi via une lettre manuscrite postée sur Twitter et assure n'avoir perdu "aucune de [ses] facultés". La semaine dernière, elle avait adressé une cinglante lettre ouverte au président Emmanuel Macron.

Les fans de "BB" peuvent souffler. Brigitte Bardot, 88 ans, a publié un message manuscrit ce mercredi sur Twitter afin de rassurer sur son état de santé alors qu'une information du média France Dimanche faisait état d'une hospitalisation en urgence de l'actrice pour une "insuffisance respiratoire". Selon le magazine, l'actrice serait restée en soins intensifs plusieurs jours et se serait vu prescrire "au moins trois semaines de convalescence" à l'hôpital de Toulon. Et d'évoquer ensuite les "lourdes séquelles" dont souffrirait Brigitte Bardot, traduites par "des troubles cognitifs touchant à l'expression orale et à l'écriture".

Des affirmations rapidement battues en brèche par l'intéressée. "Je tiens à rassurer tout le monde : je vais très bien. La presse a fait un scandale avec un malaise qui m'est arrivé en janvier et dont on fait tout un tintouin aujourd'hui", dénonce-t-elle. Et d'assurer n'avoir perdu "aucune de [ses] facultés". "La lettre ouverte envoyée à Macron il y a trois jours en est la preuve !", écrit-elle. 

Une lettre incendiaire transmise à Emmanuel Macron

Le 26 avril dernier, l'ancienne gloire du cinéma français s'en était pris vertement au chef de l'État, dénonçant son "inaction" et sa "lâcheté" sur le thème du bien-être animal. Une cause chère à Brigitte Bardot qui a ouvert, dès 1986, une fonction à son nom destinée à défendre le droit des animaux.

"Vous faites de la France une 'poubelle' qui vous sert de trône et vous prenez un plaisir sadique à faire souffrir votre peuple, mais aussi les plus humbles, les plus vulnérables et les plus soumis, 'les animaux'", avait-elle écrit, allant même jusqu'à traiter Emmanuel Macron de "marionnette méprisable" et d'"être maléfique".