Publicité
Publicité

Cyclisme-Vuelta : Samuel Sanchez contrôlé positif à l'hormone de croissance

Europe1 .fr avec AFP - Mis à jour le . 1 min
Samuel Sanchez, BMC, Bryn Lennon / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP 1280
Samuel Sanchez a été remplacé par le Belge Loïc Vliegen au sein de BMC Racing pour la Vuelta. © Bryn Lennon / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP

Alors qu'il devait prendre le départ du Tour d'Espagne samedi, Samuel Sanchez a été contrôlé positif à l'hormone de croissance et suspendu provisoirement.

L'Espagnol Samuel Sanchez, qui devait prendre le départ de la Vuelta samedi sous les couleurs de l'équipe américaine BMC Racing, a été contrôlé positif à l'hormone de croissance et suspendu provisoirement, a annoncé l'Union cycliste internationale (UCI) dans un communiqué, jeudi.

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

Remplacé par le Belge Loïc Vliegen. Le champion olympique sur route 2008, deuxième du Tour de France 2010, a été contrôlé positif à l'entraînement le 9 août dernier. Co-leader de BMC Racing avec Tejay van Garderen et Nicolas Roche, tous les trois jouant le classement général, Sanchez a été remplacé par le Belge Loïc Vliegen au sein de BMC Racing pour la Vuelta qui s'élance samedi de Nîmes.

Dans un communiqué, la formation suisse s'est dite "extrêmement déçue de partager cette nouvelle à l'orée du Tour d'Espagne" et a réaffirmé sa "tolérance zéro" envers le dopage. En vertu des règlements de l'UCI, Sanchez, 39 ans, a été provisoirement suspendu. Le coureur a la possibilité de demander l'analyse de l'échantillon B.

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

Un produit difficilement décelable. L'échantillon urinaire A de Sanchez, spécialiste de la montagne qui remporta également le maillot à pois sur le Tour de France 2011, laisse apparaitre des traces d'hormones de croissance. Ce produit, difficilement décelable en raison de sa fenêtre de détection très courte mais largement utilisé selon les experts, n'a à ce jour été incriminé que dans une vingtaine de cas dans le monde depuis le premier contrôle positif, sur un joueur de rugby à XIII, en 2010.