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J.R. , modifié à
Le célèbre rappeur, fan du club normand depuis son enfance, a évoqué ses souvenirs sur Europe 1.
INTERVIEW

Même sans être un supporter acharné, Orelsan suit régulièrement les résultats de Caen, le club de sa ville natale. Entre le stade Malherbe et le célèbre rappeur, c’est même une histoire de famille. "Toute ma famille était abonnée. Mon frère avait un blog sur le club, et mon cousin a été la mascotte de Caen pendant un moment", a raconté Orelsan, mercredi dans l’émission Y’a pas péno, sur Europe 1, avant la demi-finale de Coupe de France entre Caen et le PSG (à suivre à partir de 21h05 sur Europe1.fr).

Un autographe de Dangbeto avec son cousin. Depuis son plus jeune âge, Orelsan assiste aux matches de son club de cœur. Alors forcément, quand il se retrouve assis à côté de Xavier Gravelaine, l’ancien attaquant légendaire de Malherbe (1991-1993), ses souvenirs d’enfance reviennent. "Ça me fait bizarre d’être à côté de Xavier Gravelaine. Le premier match que j’ai vu c’était Caen-Marseille, il y avait Chris Waddle (l’ancien attaquant anglais de l’OM)."

Orelsan se souvient également d’avoir croisé un jour Hippolyte Dangbeto, l’ancien défenseur de Caen (1990-1995). "Dangbeto, je l’avais croisé à Conforama avec mon cousin. On lui avait demandé un autographe, on était fou. Avec Malherbe, ce sont beaucoup d’anecdotes."  

"A chaque fois que j’ai chanté ici, on a perdu". Les années ont passé, mais le rappeur continue de voir les rencontres à domicile de l’actuel 15e de Ligue 1. "Je viens régulièrement, j’habite à 200 mètres d’ici." Le rappeur, qui donnera le coup d’envoi de la demi-finale de Coupe de France mercredi soir, a cependant de mauvais souvenirs quand il s’y est produit en tant qu’artiste. "A chaque fois que j’ai chanté ici on a perdu, donc ce soir je ne chante pas", a-t-il assuré, amusé. De quoi porter chance à Caen ?