Rhône : un pendentif en hommage à Johnny Hallyday victime de son succès

crucifix Johnny Hallyday crédit : capture d'écran du site D'Or et D'Argent  - 1280
© capture d'écran du site D'Or et D'Argent
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M.R. , modifié à
Il faut désormais attendre plusieurs semaines avant de pouvoir commander auprès d'artisans du Rhône une reproduction du crucifix que portait Johnny Hallyday, selon "Le Progrès". 

L'idole des jeunes la portait de plusieurs années, elle est désormais disponible sur commande auprès d'un bijoutier du Rhône. Mais depuis qu'un client lui a demandé de reproduire le célèbre crucifix de Johnny Hallyday sur lequel le Christ porte une guitare, les commandes s'enchaînent, rapporte Le Progrès mardi. 

Une oeuvre unique. Laeticia Hallyday l'arborait lors de l'hommage populaire rendu au chanteur le 6 décembre dernier. À la suite de cet événement, un client s'est présenté auprès de l'atelier D'Or et D'Argent tenu par un père et son fils avec un dessin précis du crucifix. "Il souhaitait que ce soit l’image de Johnny Hallyday qui soit immortalisée sur un pendentif croix pour une œuvre qu'il voulait unique", a expliqué Sébastien De Matos au Progrès.

Un défi à relever. L'artisan n'a pas hésité à relever le défi. "J'aime imaginer et créer sans cesse de nouvelles pièces qui correspondent à la personnalité, aux attentes et aux envies de notre clientèle. Étant moi-même fan de Johnny Hallyday, je n'ai pas eu trop de mal à trouver l'inspiration." Il s'est alors attelé à la tâche qui lui a pris plusieurs jours.

Un bijou à 380 euros. Après plusieurs étapes de fabrication, du façonnage du personnage en cire jusqu'au sertissage d'oxyde blanc de zirconium dans la guitare, le bijou en argent massif pèse 46 grammes. Il est vendu sur le site Internet de l'atelier pour la modique somme de 380 euros. Le modèle est également disponible en or et en diamant.

Plusieurs semaines d'attente. Le crucifix a rencontré un tel succès qu'il faut désormais attendre plusieurs semaines avant de pouvoir passer commande. "Mais notre volonté est de conserver à cette création son aspect spécifique. On ne veut pas se lancer dans une production de masse. On préférera donc répondre aux sollicitations au cas par cas", précisait le bijoutier au journal local.