En dédicace samedi à la 31ème foire du livre de Brive, en Corrèze, Valérie Trierweiler a insisté sur le caractère inédit de ce déplacement en solo dans le fief de François Hollande : "c'est un peu étrange, c'est la première fois que je viens en Corrèze sans François Hollande. Je suis ravie d'être là… et lui regrette beaucoup de ne pas l'être", a confié la compagne du président au micro d'Europe1.
Et Valérie Trierweiler de la jouer résolument profil bas : "les Corréziens sont très chaleureux et il faut se rendre compte de ce que François Hollande représente pour eux. Je suis en quelque sorte 'un ersatz' de François Hollande aujourd'hui, sans lui je ne serais rien", a-t-elle ainsi confié Valérie Trierweiler entre deux dédicaces de l'album photos sur les coulisses de la victoire de François Hollande dont elle a signé les légendes.
"C'est un peu dur en ce moment pour votre mari"
Interrogée sur la nature de son statut pour cette séance de dédicaces - Première dame, journaliste ou écrivain ? – la compagne de François Hollande a botté en touche : "je suis Valérie Trierweiler, après vous y mettez ce que vous voulez", a-t-elle tranché.
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Malgré la présence d'Amélie Nothomb, de Jérome Ferrari (le Goncourt de l'année), de Philippe Gelluck et encore de Mazarine Pingeot et Bernard Pivot, la première dame de France était la vedette du salon samedi. Les gens se bousculaient devant son stand, le seul du salon à avoir des barrières de sécurité et ça et là quelques gardes du corps.
Parmi les nombreux Corréziens à venir lui parler de François Hollande, il y a cette vieille dame qui lui glisse à l'oreille : "c'est un peu dur en ce moment pour votre mari… mais il va y arriver". "Bien sûr, il y arrive toujours", répond Valérie Trierweiler.