Tibéhirine: Rondot accuse le GIA

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L'enlèvement et l'assassinat des moines de Tibéhirine en 1996 est l'oeuvre du Groupe islamique armé (GIA) de Djamel Zitouni qui bénéficiait d'une certaine marge de manoeuvre de la part des services algériens, a dit le général Philippe Rondot lors de son audition par un juge antiterroriste. Le général Rondot, qui a été entendu lundi par les juges antiterroristes Marc Trévidic et Nathalie Poux, était chargé de mission à la DST (contre-espionnage) à l'époque de l'enlèvement des moines.