Sangliers morts : analyses complémentaires

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Pour poursuivre les investigations pour tenter d'élucider la mort des 36 sangliers dans le lit du Gouessant, à Morieux, la préfecture des Côtes-d’Armor a demandé des analyses complémentaires : de l’air ambiant, des émissions gazeuses de la vase et de l’eau.

Lundi, un rapport de la préfecture des Côtes-d’Armor a avancé que la présence d’hydrogène sulfuré, un gaz toxique qui apparait au moment de la putréfaction des algues vertes, était "avérée" dans les poumons de cinq des six sangliers. D'où la volonté de la préfecture d'approfondir les recherches pour déterminer la cause commune de leur mort et de tirer des conclusions définitives sur l'affaire.

La préfecture tient à préciser que la sécurité est "parfaitement assurée sur les plages des Côtes-d'Armor", souligne le quotidien Ouest France. Néanmoins, la plage de Saint-Maurice reste fermée au public, puisqu'elle sert encore de terrain d'étude pour les investigations des prélèvements dans le Gouessant.