Nicolas Hulot a joué la carte de l'apaisement vendredi en soulignant que, grâce au grenelle, la "France était leader en Europe sur ces sujets". Selon lui, la question est de savoir s'il y a "une remise en cause des ambitions écologiques après les régionales". "Le dialogue n'est pas rompu mais on demande des clarifications", a-t-il déclaré sur RTL, exprimant sa légère déception et sa grande surprise. Il a par ailleurs dénoncé "un travail de sape systématique des uns et des autres sur une mesure complexe qui devait précéder une réforme de la fiscalité".