Les relations entre la tenniswoman Aravane Rezaï et son père se seraient-elles améliorées ? En tout cas, selon le procureur de la République de Saint-Etienne, Jean-Daniel Regnauld, l’enquête diligentée à la suite de la plainte, déposée en juin 2011 lors de l’Open d’Australie, par la joueuse franco-iranienne, "va être classée sans suite". "Ce classement résulte d’un désistement de fait de la plaignante qui n’a pas répondu aux convocations des services de police chargés de l’enquête et du fait que le contenu de la plainte ne lui permettait pas de prospérer en l’état", a indiqué le représentant du parquet.