Magali et Sandrine, filles de deux victimes de l’attentat, dénoncent l’opacité de l’enquête.
Propos recueillis par Guillaume Cahour.
Magali et Sandrine, filles de deux victimes de l’attentat, dénoncent l’opacité de l’enquête.
Propos recueillis par Guillaume Cahour.