La direction du groupe Doux a démenti formellement toute intention d'un démantèlement du groupe sous forme de "vente à la découpe", comme cela est évoqué dans le quotidien Le Monde, qui cite les administrateurs judiciaires chargés du redressement.
"Il s'agit d'un abus de langage que nous regrettons amèrement et qui ne fait que mettre de l'huile sur le feu", a dit vendredi un porte-parole du volailler, placé en redressement judiciaire depuis le 1er juin. Lancé dans une course contre la montre pour trouver des fonds qui permettent le paiement des éleveurs, des fournisseurs et la poursuite de l'activité, le groupe Doux a finalement été mis en vente dans sa totalité par l'administrateur judiciaire.