Trois carcasses de cheval provenant d'abattoirs britanniques et contenant des traces de phenylbutazone, un anti-douleur potentiellement nocif pour la santé humaine, ont été envoyées en France, a indiqué jeudi le ministre britannique de l'Agriculture David Heath.
Le ministre a précisé aux députés que des traces de ce produit avaient été détectées dans huit carcasses testées au Royaume-Uni et que trois d'entre elles étaient entrées dans la chaîne alimentaire en France. En revanche, cet anti-douleur n'a pas été détecté dans les produits de la marque Findus testés au Royaume-Uni, a-t-il ajouté.