L'énigme des six membres du personnel médical de l'Hôtel-Dieu à Paris empoisonnés en août 2010 par un puissant anesthésiant dilué dans leur café demeure. L'instruction, après deux ans d'enquête infructueuse, a jeté l'éponge et rendu jeudi une ordonnance de non-lieu, d'après RTL.fr.
Deux personnes avaient été placées en garde à vue peu de temps après les faits, puis libérés sans charge. A ce jour, seule la substance qui avait plongé médecins et infirmiers dans un profond sommeil a été déterminé : du Loxapac, un médicament utilisé pour calmer les crises de paranoïa et de schizophrénie.