Près de six mois après les crashs de l’AF447 et de l’Airbus de la Yemenia Airlines, les acteurs de la sécurité aérienne peinent à la jouer collectif.
Près de six mois après les crashs de l’AF447 et de l’Airbus de la Yemenia Airlines, les acteurs de la sécurité aérienne peinent à la jouer collectif.