Le procureur de Nanterre (Hauts-de-Seine), Philippe Courroye, se défend d'avoir subi des pressions dans l'affaire Woerth-Bettencourt dans un entretien accordé au Figaro. "Je ne suis pas homme à céder aux pressions. Si une information doit être ouverte, elle le sera. Si des poursuites devant le tribunal doivent être engagées, elles le seront. Si un classement doit intervenir, il sera prononcé", affirme le procureur. "L'ampleur et la rapidité des investigations démontrent la mobilisation de la justice et de la police au service d'un seul objectif : établir la vérité", ajoute-t-il.