Woerth a "envie d'étrangler" certains

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Eric Woerth, mis en cause dans l'affaire Bettencourt, aurait indiqué, lors de la réunion hebdomadaire à huis clos du groupe UMP, qu'il "essayait de garder (son) calme" même s'il avait "envie d'étrangler" certaines personnes. "Merci de votre soutien, merci de votre solidarité. Je reviens en troisième semaine...", aurait ironisé le ministre du Travail d'après des participants à la réunion. "Je n'ai évidemment pas touché 150.000 euros. Ça fait même drôle de le dire", aurait-il ajouté.