Valérie Trierweiler se sent "plus utile"

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Fabienne Cosnay et Jean-Sébastien Soldaïni , modifié à
CONFIDENCES - La Première dame se sent plus à l'aise dans l'humanitaire que dans la parole politique.

Valérie Trierweiler, une Première dame au front. La compagne de François Hollande poursuit ses visites humanitaires en sa qualité d'ambassadrice de la Fondation France Libertés. En compagnie de la ministre de la Francophonie Yamina Benguigui, Valérie Trierweiler s'est rendue au chevet de femmes victimes de violences sexuelles dans un hôpital de Bukavu dans l'est de la République démocratique du Congo avant de s'envoler pour le Burundi.

 

Après avoir tâtonné pendant ses premiers mois à l'Elysée, Valérie Trierweiler se sent aujourd'hui "plus utile" dans son rôle de Première dame présente sur le front humanitaire. "Quand je vois qu'on attend de moi à ce point là, que même juste une présence peut faire du bien, oui, je me sens "plus utile" qu'à l'époque du journalisme, a confié à Europe 1 la Première dame qui ne sent pas pour autant "ambassadrice". "Je suis un autre relais qui peut sans doute être plus utile dans l'humanitaire que dans la parole politique", estime t-elle.