"Nous ne sommes pas rivaux : il a 22 ans, j'en ai 64"

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Rédaction Europe1.fr , modifié à
Patrick Devedjian, Ségolène Royal ou encore Silvio Berlusconi... Voici les déclarations qui ont marqué la semaine politique.

Belliqueux. "Il a certainement de l'ambition. Mais nous ne sommes pas rivaux : il a 22 ans, j'en ai 64". De Patrick Devedjian, président UMP du conseil général des Hauts-de-Seine et ministre de la Relance, à propos d'une éventuelle concurrence avec Jean Sarkozy pour la présidence du département.

Zélée. "C'est le meilleur d'entre nous. Il a toutes les compétences, les qualités, la maturité". D'Isabelle Balkany, vice-présidente UMP du Conseil général des Hauts-de-Seine, en souhaitant la candidature de Jean Sarkozy à la tête de la collectivité.

Lénifiant. "Quand on est très, très mal, si on travaille ça va forcément aller mieux". De Ségolène Royal, ex-candidate PS à la présidentielle, à propos de la crise de leadership au PS.

Enervé. "Quand il y a une stupidité incroyable comme celle-là, cela nécessite qu'on le dise avec une certaine force". Du sénateur-maire UMP de Marseille Jean-Claude Gaudin, après les tirs militaires incriminés dans l'incendie ayant ravagé plus de 1.000 hectares dans sa ville.

Imperturbable. "On commande des sondages, si des journaux veulent acheter les mêmes, nous, on n'y peut rien !". De Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée, à propos dela polémique sur les sondagescommandés par la présidence de la République.

Modeste. "Je ne suis pas un saint". Du président du conseil italien, Silvio Berlusconi, au centre de scandales touchant sa vie privée.

Accueillant. "Si un quelconque pays étranger tente des ingérences en Iran, la République islamique giflera l'agresseur si fort qu'il en perdra son chemin pour rentrer chez lui". Du président iranien Mahmoud Ahmadinejad dans un discours à Machaad.