Mandroux: "Un déni de démocratie" (E1)

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"Si de temps en temps on a pas le courage de s'élever contre ce à quoi on assiste, qui va le faire? (...) C'est sur moi que ça tombe j'aurais préféré que ça tombe sur quelqu'un d'autre", a déclaré Hélène Mandroux mardi sur Europe 1. "Je n'ai jamais pensé que c'était cuit, du moment qu'on se bat pour ses valeurs on ne peut qu'avancer", a expliqué la maire de Montpellier, qui se présente aux régionales en Languedoc-Roussillon. Concernant les attaques de Georges Frêche, qui estime qu'en cas de défaite Hélène Mandroux devrait en tirer les conséquences, elle a déclaré: "Cette phrase est très grave c'est un déni de démocratie", ajoutant que Frêche était une "forme de dictateur".