13% des ménages ont fait leurs courses en 2006 dans les magasins de hard discount, contre 7% cinq ans plus tôt, relève l'Institut national de la statistique et des études économiques.
Les 20% de ménages ayant le niveau de vie le plus faible y réalisent près de 20% de leurs dépenses d'alimentation. Cette part tombe à 5% pour les 10% les plus aisés, indique l'Insee. Les ménages plus aisés privilégient les commerces de proximité et les marchés.
Les Parisiens ont une structure de dépenses plus "particulière" en raison tant de la nature du tissu commercial de Paris (absence d'hypermarchés mais nombreux cavistes, boucheries, épiceries spécialisées...) et d'un niveau de vie sensiblement plus élevé qu'ailleurs.