La cour d'appel de Paris, qui rejugeait l'"Angolagate", n'a pas retenu les faits de trafic d'armes, considérant que la vente d'armes au centre de toute l'affaire avait été effectuée sur mandat de l'Etat angolais, dans son arrêt rendu vendredi.
La cour d'appel de Paris, qui rejugeait l'"Angolagate", n'a pas retenu les faits de trafic d'armes, considérant que la vente d'armes au centre de toute l'affaire avait été effectuée sur mandat de l'Etat angolais, dans son arrêt rendu vendredi.