La Commission européenne a proposé mercredi de modifier les règles dans l'espace Schengen, en prévoyant la possibilité de rétablir des contrôles frontaliers de jusqu'à trois ans pour faire face à des menaces comme le terrorisme.
Des contrôles en cas de "menace grave". Selon les règles actuelles de l'espace de libre-circulation, des contrôles rétablis en cas de "menace grave" à l'ordre public ou la sécurité d'un pays ne peuvent pas excéder six mois, ou exceptionnellement deux ans en cas de chaos constaté aux frontières extérieures de l'UE.