En Direct

Le Venezuela en feu après trois semaines de violence sur fond de crise économique

1 / 8

Un mouvement anti-Maduro

L'opposition veut le départ du président Nicolas Maduro et la tenue d'élections anticipées.
JUAN BARRETO / AFP
2 / 8

De nombreux affrontements dans tout le pays

Pour faire face à cette vague de manifestation, le président Maduro a déployé l'armée.
CARLOS BECERRA / AFP
3 / 8

La rage du désespoir

Face à l'armée, les cocktails Molotov et l'envie d'en découdre.
CARLOS BECERRA / AFP
4 / 8

Plus de 600 personnes arrêtées

Les forces de l'ordre essuient jets de pierres et cocktail Molotov
RONALDO SCHEMIDT
5 / 8

La violence ne semble pas avoir de limites

En trois semaines, 20 personnes ont été tuées, selon les autorités, dont une douzaine rien que dans la nuit de jeudi à vendredi aux cours d'émeutes, pillages et blocages de routes dans des quartiers populaires de Caracas
RONALDO SCHEMIDT / AFP
6 / 8

Des scènes de guerre

Quand la tension monte, Caracas se transforme en champ de bataille.
JUAN BARRETO / AFP
7 / 8

Certains commerces ont été pillés par les manifestants

Étagères renversées, frigos détruits, plusieurs pilleurs se sont attaqués à ce commerce ne laissant rien après leur passage.
RONALDO SCHEMIDT / AFP
8 / 8

Des manifestants fouillent pour manger

A Caracas, devant un supermarché pillé dans la nuit, ces personnes fouillent ce que les pilleurs ont laissé sur place à la recherche de nourriture.
RONALDO SCHEMIDT / AFP
  • Copié
, modifié à

Depuis le 1er avril, une vague de manifestations de l'opposition exige le départ du président Nicolas Maduro.

Plongé en pleine crise économique à cause de la chute du cours du pétrole, le Venezuela est en feu. Depuis presque un mois, les journées de protestations s'enchaînent dans tout le pays contre Nicolas Maduro.

En guise de réponse, le président vénézuélien a lancé un plan de défense pour déjouer un "coup d'Etat terroriste" fomenté selon lui par les Etats-Unis, une accusation rejetée par Washington. Le mandat de Nicolas Maduro court jusqu'à fin 2019. Selon un sondage Venebarometro, sept Vénézuéliens sur dix souhaitent son départ.