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David Lynch rétropédale sur Trump : "Vous causez de la souffrance"

Europe1 .fr avec AFP - Mis à jour le . 1 min
David Lynch estime que ses propos sur Donald Trump rapportés dans le "Guardian" ont été sortis de leur contexte.
David Lynch estime que ses propos sur Donald Trump rapportés dans le "Guardian" ont été sortis de leur contexte. © SAUL LOEB, ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP

Le réalisateur avait estimé que le chef de l'Etat pourrait rester dans l'histoire comme l'un des plus grands présidents américains de tous les temps. David Lynch affirme que ses propos ont été sortis de leur contexte.

David Lynch a accusé mardi Donald Trump de "causer de la souffrance et de diviser" le pays, semblant opérer un virage à 180 degrés par rapport à ce week-end quand il a estimé que le républicain pourrait ressortir comme l'un des plus grands présidents américains.

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Des propos sortis de leur contexte, estime Lynch. Le mythique réalisateur a choqué Hollywood et le public progressiste en déclarant au quotidien britannique The Guardian que le chef de l'Etat américain pourrait rester dans l'histoire comme l'un des plus grands présidents américains de tous les temps parce qu'il a bousculé le milieu politique de Washington, qui en avait besoin selon lui. Des propos dont s'est délecté l'hôte de la Maison Blanche. Mais David Lynch a affirmé mardi que ses propos avaient été sortis de leur contexte.

"Vous causez de la souffrance et vous divisez". "Malheureusement, si vous continuez sur la même voie, vous n'aurez pas de possibilité de ressortir comme l'un des plus grands présidents", a écrit le créateur de la série culte Twin Peaks sur Facebook. "Ce serait triste pour vous - et pour le pays. Vous causez de la souffrance et vous divisez", a-t-il ajouté, s'adressant directement au président: "J'aimerais qu'on puisse s'asseoir et discuter tous les deux".

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"Traiter les gens comme vous aimeriez être traité". Dans l'entretien au Guardian, le metteur en scène de Blue Velvet et Mulholland Drive, âgé de 72 ans, s'était dit indécis sur le travail fait par le magnat républicain, jugeant cependant que son arrivée au pouvoir pourrait ouvrir la voie à des réformes majeures. Mardi, il précisait sur Facebook : "Vous pouvez unir votre pays. Votre âme chantera", avant de conclure : "J'espère que vous prendrez cela à cœur. Tout ce que vous devez faire est de traiter les gens comme vous aimeriez être traité".

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