Le ministère des Affaires étrangères s'est refusé lundi à commenter les informations faisant état d'un problème de santé pour la seule femme otage d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), détenue au Mali, et n'a pas non plus dit si la France avait reçu des exigences. Dimanche, un intermédiaire nigérien avait indiqué que cette Française, otage avec six autres personnes depuis la mi-septembre, ne pouvait "plus rester longtemps sans soins". Selon un de ses proches, Françoise Larribe a un cancer et a subi une chimiothérapie peu de temps avant son enlèvement.