La succession du dalaï-lama contestée

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avec AFP , modifié à

Le futur choix par le chef spirituel des Tibétains de son successeur sera "illégal", a prévenu lundi Pékin, en affirmant que le titre de "dalaï lama" était conféré par le gouvernement central chinois. "Le titre de 'dalaï-lama' est conféré par le gouvernement central et est illégal dans tout autre cas de figure", a déclaré Hong Lei, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, deux jours après que le dalaï-lama a déclaré que lui seul choisirait son successeur