Concordia : un début de pollution ?

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avec AFP

L'ONG de protection de l'environnement Greenpeace a dénoncé vendredi un début de pollution par des produits chimiques autour de l'épave du Concordia, tandis que les autorités italiennes ont démenti ces accusations.

Greenpeace, qui a réalisé du 15 au 18 février des études sur place, près de l'île italienne du Giglio où le luxueux paquebot s'est échoué le 13 janvier, a aussi déclaré avoir trouvé des traces d'hydrocarbures dans l'eau potable de l'île provenant d'une installation de dessalement, selon un communiqué.

Le ministère de l'Environnement a indiqué ne pas avoir trouvé de "phénomènes significatifs d'une pollution de l'eau de mer", précisant que les hydrocarbures et détergents présents dans l'eau sont à un niveau "inférieur au seuil où ils peuvent être relevés" à l'aide d'instruments.