Pour la chancelière allemande Angela Merkel, le moment est venu de décréter de nouvelles sanctions envers l'Iran, qui poursuit ses activités nucléaires sensibles. La République islamique a rejeté toutes les propositions constructives des gouvernements étrangers pour résoudre la question de l'enrichissement de l'uranium, a-t-elle estimé suite à une entrevue avec le Premier ministre libanais Saad Hariri. "J'ai souligné que nous entrons dans une phase où il doit y avoir des sanctions contre l'Iran", a lancé le chef du gouvernement allemand.