La garde à vue d'une nourrice prolongée

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avec AFP

La nourrice soupçonnée d'avoir administré un anxiolytique à un bébé pour le calmer devait être déférée dimanche devant le parquet d'Aix-en-Provence, a-t-on appris auprès de la sûreté publique des Bouches-du-Rhône. Cette assistante maternelle a été placée en garde à vue à Salon-de-Provence vendredi soir, à la suite de l'hospitalisation de l'enfant, dont les jours ne sont pas en danger. Elle a reconnu avoir donné du Lexomil à ce petit garçon, âgé d'environ six mois, qu'elle gardait, selon Olivier Messens, directeur de la sûreté publique des Bouches-du-Rhône.