Tony était mort in utero en août 2010. Après deux ans de souffrance, la mère de l'enfant doit de nouveau affronter une douloureuse épreuve : le vol mercredi de l'urne funéraire du mort-né mardi au domicile de la mère à Avignon. Les cambrioleurs n'ont pas fait la distinction entre les bijoux et les cendres de Tony, rapporte Laprovence.fr jeudi.
"On a l'impression de le perdre une deuxième fois", regrette la mère, qui s'est lancée depuis à la recherche de cette présence sentimentale, posant des affiches descriptives dans son quartier.