L'ancien patron d'Ikea France et une ancienne directrice des ressources humaines ont été "mis en disponibilité pour la durée des investigations" sur une surveillance illégale de salariés et clients, a annoncé mercredi à l'AFP l'actuel directeur général, Stefan Vanoverbeke.
Ils sont "mis en disponibilité, parce qu'il y a la présomption d'innocence", et "en accord mutuel, pour mieux pouvoir coopérer avec les autorités", a-t-il indiqué, sans nommer Jean-Louis Baillot, à qui il a succédé en 2010, ni Claire Hery, l'ancienne DRH.