Agnès : "il y a eu des signes avant-coureurs" (E1)

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avec Jean-Luc Boujon , modifié à

Alors que la direction du collège-lycée Cévenol est pointée du doigt pour ne pas avoir cherché à connaître le passé judiciaire du meurtrier présumé d'Agnès, un des professeurs de l'établissement, membre du conseil d'administration, a regretté sur Europe 1 de ne pas avoir connu tout le dossier du jeune homme. "On est au courant d'un certain nombre de choses", a reconnu Albert Munoz, tout en affirmant ne pas tout savoir.

"Il y a eu des signes avant-coureurs, qui à la lecture des événements actuels, auraient été des indices", assure le professeur. "Il y a toujours des petits éléments qui peuvent ensuite, à la lecture des événements se révéler éclairants", a-t-il ajouté.