Selon RSF, des milliers de vies auraient pu être épargnées si la presse chinoise était libre

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Selon l’ONG Reporters sans frontières, "si la presse chinoise était libre, le coronavirus ne serait peut-être pas devenu une pandémie". D’après RSF, sans le contrôle et la censure imposés par les autorités chinoises, les médias du pays auraient informé bien plus tôt sur la gravité du coronavirus. Christophe Deloire, directeur général de Reporters sans frontières, en parle sur Europe 1 mercredi. 

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