Selon Raphaël Enthoven, l'ivresse a deux vertus : elle est consciente d'elle-même et permet une expérience ontologique.
Il faut savoir modérer, parfois, la modération elle-même
Les chroniques des jours précédents
Selon Raphaël Enthoven, l'ivresse a deux vertus : elle est consciente d'elle-même et permet une expérience ontologique.