Le Projet Voltaire, pour ne plus faire de fautes et mieux s’exprimer

Les Trophées de l'Avenir
© Europe 1
  • Copié
Yann Hamon , modifié à
Avec ses Trophées de l’Avenir, Europe 1 récompense chaque année des entreprises, des associations ou des collectivités locales pour leur audace, leur innovation et leur côté visionnaire. En lice pour le Trophée de l’Éducation, en partenariat avec Acadomia, le Projet Voltaire aide les personnes de 7 à 77 ans à ne plus faire de fautes d’orthographe et à mieux s’exprimer. 

Avec près de 15 ans d’existence, Le Projet Voltaire est un outil en ligne de remise à niveau en orthographe et en expression orale, s’adressant aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Il est utilisé par les entreprises, les établissements d’enseignement supérieur, les écoles primaires, mais aussi au collège et dans les lycées, pour permettre de certifier leur niveau en expression et en orthographe. 

Ne plus être stigmatisé à cause de son orthographe 

Au travers de l’application mobile ou d’un ordinateur, il est possible de se remettre à niveau en quinze minutes par jour pendant 3 à 4 mois. C'est ce qu'explique Mélanie Viénot, présidente du Projet Voltaire : "Faire des fautes d’orthographe est très stigmatisant, on écorne son image et celle de son entreprise". Le Certificat Voltaire permet notamment de délivrer, après un examen en salle, un certificat de niveau en orthographe accompagné d’un score qui peut être affiché sur son CV. De plus, il est possible grâce à cet outil, de rédiger des mails professionnels plus convaincants et plus efficaces. 

Utilisé par plus de 7 millions de personnes 

Depuis son lancement, Le Projet Voltaire revendique plus de 7 millions d’utilisateurs. "C’est déjà beaucoup. Beaucoup se sont entraînés sur la partie orthographe, mais pas encore forcément sur la partie expression qui est assez nouvelle chez nous. Donc ne pas faire de fautes d’orthographe, c’est important. Savoir transmettre ses idées, ses opinions, sans doute encore plus, surtout dans la vie professionnelle ou même dans sa vie", estime Mélanie Viénot.