Publicité
Publicité

Contrôle des chômeurs : "Il faut une pénalisation plus importante"

Europe1 .fr avec AFP - Mis à jour le . 1 min
Sylvain Maillard assure qu'il s'agit d'une promesse de campagne
Sylvain Maillard assure qu'il s'agit d'une promesse de campagne © GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP

Le député de Paris LREM Sylvain Maillard estime qu'il faut "une pénalisation plus importante" des chômeurs "parce qu'on met beaucoup d'argent sur la table".

Le député La République en marche Sylvain Maillard a défendu jeudi sur LCI "une pénalisation plus importante" des chômeurs ne recherchant pas assez activement un emploi, soulignant que "c'est une promesse de campagne".

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

"La réflexion est en cours". Selon une note confidentielle du ministère du Travail citée mercredi par le Canard enchaîné, une recherche insuffisante, un refus de formation ou un refus de deux offres d'emploi jugées raisonnables entraînerait une réduction des allocations de 50% (contre 20% actuellement) pendant deux mois. Interrogé sur ce chiffre de 50%, Sylvain Maillard a indiqué que "la réflexion est en cours".

"C'est un document de travail, il y aura des discussions avec les partenaires sociaux, il y aura des discussions aussi au Parlement. Donc pour le moment, ce n'est pas un projet abouti mais en tout cas c'est une promesse de campagne".

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité

"Une pénalisation plus importante". Pour le député de Paris, "il faut qu'il y ait une pénalisation plus importante, en tout cas une incitation, parce qu'on met beaucoup d'argent sur la table pour aider les demandeurs d'emploi (...) et de l'autre côté on veut une responsabilité plus importante". 

"Nous sommes dans une situation de profonde mutation économique. Nous avons été élus, et Emmanuel Macron a été élu, pour transformer économiquement aussi le pays. Et dans cette politique, nous avons toujours dit qu'il y aurait des efforts à faire pour l'ensemble des Français, il y aurait des droits et des devoirs", a plaidé Sylvain Maillard.