Total: Les salariés en quête de "réponses"

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"Nous sommes dans les bureaux de la direction et nous y resterons tant que nous n'aurons pas de réponses à nos questions légitimes sur l'avenir du site", a confié à l'agence de presse Reuters Philippe Wullens, délégué du syndicat Sud du site Total de Dunkerque. "Nous en avons marre, ils ne nous prenaient pas au sérieux. Ils vont comprendre que nous sommes déterminés", a ajouté Pierrick Bellé, de la CGT, laissant penser que le mouvement était parti pour durer. Un ultimatum avait été lancé par les syndicats, demandant la reprise des activités avant le 15 février sous peine d'occupation.