Renault : "victime d'une filière internationale"

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Le constructeur automobile français se dit samedi "victime d'une filière organisée internationale" mais affirme n'avoir pas perdu de secret technologique majeur dans l'affaire d'espionnage qui l'ébranle, dans Le Monde daté de dimanche. Samedi matin, sur Europe 1, le ministre de l'Industrie Eric Besson a refusé de confirmer la piste chinoise, qui est avancée par plusieurs titres de la presse.