Les moyens pour aider ses enfants à acheter

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Les moyens d’aider son enfant à devenir propriétaire sont nombreux. Eventail des solutions possibles.

Les moyens d’aider son enfant à devenir propriétaire sont nombreux. Eventail des solutions possibles.

 

 

Se loger dans de bonnes conditions est devenu difficile surtout pour ceux qui démarrent dans la vie. Malgré des salaires réguliers, les jeunes actifs sont de plus en plus nombreux à « galérer » pour accéder à la propriété. Malgré des taux relativement bas et des crédits immobiliers allant jusqu’à 30 ans, certains ont du mal à accéder à la propriété en raison de prix élevés. Dans ce contexte, les parents peuvent toujours donner un coup de pouce. Voici plusieurs scénarios envisageables pour aider son « petit » à se faire son « nid ».

 

 

Lui donner de l’argent

 

C’est la formule la plus directe et la plus simple. Via un don manuel ou une donation partage, l’enfant reçoit du parent de l’argent qui servira à financer sa première acquisition. Cette somme peut être puisée dans des placements ou résulter d’une vente immobilière.

Pour doper son apport personnel avant d’aller voir le banquier, rien ne l’empêche d’emprunter de l’argent à ses parents ou à ses proches. Atout ? S’endetter à un taux faible ou nul. Pour éviter d’éventuels malentendus dans la famille, mieux vaut officialiser cette reconnaissance de dette. Cette précaution évitera que ce geste parental ne soit plus tard assimilé à une donation déguisée et pose un problème successoral.

 

 

 

 

 

Acheter pour lui

 

Le (La) « jeune » n’est pas (assez) solvable pour acheter en solo ? Rien n’empêche les parents de substituer à leur rejeton et de lui acheter (à crédit ou comptant) le bien en question. Une autre variante est possible (et même conseillée) pour garder la main sur le bien et en même temps préparer la transmission : à savoir détenir le bien via une Société Civile Immobilière (SCI).

 

 

Lui céder les droits à prêts acquis sur de l’Epargne Logement

 

Si les taux de crédit attachés au Plan Epargne Logement (PEL) sont concurrentiels, pourquoi ne pas céder à son enfant les droits à prêts accumulés depuis des années. Cette solution est envisageable si parent(s) et enfant sont titulaires d’un compte ou d’un plan épargne logement. Le jeu en vaut la chandelle si les taux des crédits libres sont supérieurs à ceux de l’épargne logement. Une condition à vérifier car la situation évolue en permanence.

 

 

 

Se faire conseiller par un agent immobilier

 

Grâce au recours à un agent immobilier de quartier, il est possible d’avoir une vision objective du marché de la transaction. C’est utile, lorsque l’on ne connaît pas la ville ou le secteur dans lequel on prospecte. Ce professionnel est capable de renseigner sur la proximité des facultés et des écoles, des quartiers sympas et animés ou encore la présence (ou l’arrivée prévue) de transports en commun. Grâce à son expérience, l’agent immobilier est en mesure de proposer des logements adaptés aux critères de recherche exprimés.

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